Tlemcen et ses élites

650 DA
La longue marche focalise l'attention sur trois étapes déterminantes : la réappropriation, l'ouverture et l'affranchissement, illustrées par des élites d'envergure nationale, voire internationale. La première est représentée par le Cadi des cadis Choaïb Aboubekr et les professeurs Ghaoutsi Bouali et Abdelkader Mahdad.
La seconde par des mathématiciens comme Mohamed Bénaouda Benmansour, des économistes comme Fatima-Zohra Bouzina-Oufiha, des médecins comme l'orthodontiste Zaheira Benhabib-Damerdji, des architectes et des artistes tels Abderrahmane Bouchama et Bachir Yellès-Chaouch... alors que l'acculturation l'est par Djelloul Benkalfat et Choumissa Boudghène Stambouli-Chalabi. [...]. Mohammed Dib, lui, a porté haut la voix de l'Algérie dans une oeuvre littéraire prodigieuse.
La troisième enfin trouve son illustration dans l'illustre figure du Colonel Lotfi dont le combat s'inscrit dans la grande œuvre d'affranchissement représentée par le combat libérateur.
:0cm;text-align:justify;text-justify:kashida; text-kashida:0%;line-height:normal;mso-layout-grid-align:none;text-autospace: none'>C’est là un des aspects essentiels de la rationalité du patrimoine andalou, dont le répertoire poétique recensé est aujourd’hui en danger de disparition. Ce corpus est connu et chanté à Bagdad, Alep, Damas, Le Caire, Tunis, Constantine, Alger, Tlemcen, Fès, Tétouan, et sans doute dans les villages d’Andalousie où quelques bribes de ce patrimoine subsistent encore (version espagnole) dans les répertoires locaux.